chantal et jocelyn au Portugal

Le 14 septembre 2013

Départ ce matin du camping de Lavra, sans avoir oublié de se connecter à la wifi et mis en ligne les documents relatifs au blog et surtout les photos qui ne sont pas passées depuis le début de notre séjour à l’étranger. L’opération semble correcte mais les images verticales se mettent en paysage. Ce n’est pas grave, on verra plus tard, faisons rapidement les tâches vidanges et pleins et allons rejoindre les quais de Gaia pour gouter les différents portos. La route n’est pas facile puisqu’il faut passer Porto, et que je tente l’impossible « le pavé d’or » Jeannot et Mireille m’ayant déjà décerné le pavé d’argent.  Pas de chance nous rejoignons rapidement les quais, ils sont chargés de voitures et le stationnement est difficile, après quelques essais nous stoppons devant un chai d’une maison de porto. Plus que la porte à pousser, et nous voilà dans les immenses caves au milieu des foudres et des barriques, toutes cachetées et numérotées. De nombreux ustensiles agraires ornes la salle de dégustation. Nous commençons par du porto blanc ayant des durées de vieillissement différentes, le plus vieux nous séduit. Puis vient le porto rouge plus courant mais qui s’éclaircit au fil des années, là encore notre préférence va au plus vieux. Avant de repartir de ce beau quartier nous profitons de la vue sur la rive du Douro et le pont Eiffel que nous avons parcouru hier et un chantier naval traditionnel. Direction Aveiro, mais la faim nous taraude et nous nous arrêtons dès l’agglomération quittée, durant notre repas une régate à l’horizon, 6 voiles qui avance vite et sans se départager, après une observation approfondie, il s’agit d’un seul paquebot à voile, surprenant !

 Aveiro, par l’autoroute quelques 60km, c’est vite fait et nous trouvons assez un endroit pour stationner, un petit coup de vélo et nous visitons une ville sans grand intérêt, malgré les éloges des guides touristiques. Fuyons et posons-nous près de la mer, Praia de Mira fera l’affaire sur un parking à l’abri du vent derrière les dunes. Un bon diner et une nuit calme seront les biens venus.

Le 14 septembre 2013

Départ ce matin du camping de Lavra, sans avoir oublié de se connecter à la wifi et mis en ligne les documents relatifs au blog et surtout les photos qui ne sont pas passées depuis le début de notre séjour à l’étranger. L’opération semble correcte mais les images verticales se mettent en paysage. Ce n’est pas grave, on verra plus tard, faisons rapidement les tâches vidanges et pleins et allons rejoindre les quais de Gaia pour gouter les différents portos. La route n’est pas facile puisqu’il faut passer Porto, et que je tente l’impossible « le pavé d’or » Jeannot et Mireille m’ayant déjà décerné le pavé d’argent.  Pas de chance nous rejoignons rapidement les quais, ils sont chargés de voitures et le stationnement est difficile, après quelques essais nous stoppons devant un chai d’une maison de porto. Plus que la porte à pousser, et nous voilà dans les immenses caves au milieu des foudres et des barriques, toutes cachetées et numérotées. De nombreux ustensiles agraires ornes la salle de dégustation. Nous commençons par du porto blanc ayant des durées de vieillissement différentes, le plus vieux nous séduit. Puis vient le porto rouge plus courant mais qui s’éclaircit au fil des années, là encore notre préférence va au plus vieux. Avant de repartir de ce beau quartier nous profitons de la vue sur la rive du Douro et le pont Eiffel que nous avons parcouru hier et un chantier naval traditionnel. Direction Aveiro, mais la faim nous taraude et nous nous arrêtons dès l’agglomération quittée, durant notre repas une régate à l’horizon, 6 voiles qui avance vite et sans se départager, après une observation approfondie, il s’agit d’un seul paquebot à voile, surprenant !

 Aveiro, par l’autoroute quelques 60km, c’est vite fait et nous trouvons assez un endroit pour stationner, un petit coup de vélo et nous visitons une ville sans grand intérêt, malgré les éloges des guides touristiques. Fuyons et posons-nous près de la mer, Praia de Mira fera l’affaire sur un parking à l’abri du vent derrière les dunes. Un bon diner et une nuit calme seront les biens venus.

la sobriété

Le 13 septembre 2013

La soirée du 12 nous a permis de programmer le 13, visite de PORTO, à partir du camping en bus (environ 1 heure), nous prenons donc le bus dès 8h45, le chauffeur nous paraît très énergique, le parcours est celui d’un omnibus au travers des villages et quartiers limitrophe de Porto. Un moment plus tard c’est l’accrochage, une voiture a perdu un bout de son arrière. Tout de suite les badauds les discutions, le bus est stoppé en plein milieu de la rue paralysant ainsi la circulation, nous quittons le bus, et attendons un autre bus à la station proche, une demi-heure plus tard nous repartons pour encore un bon bout de route. Arrivé au terminus nous avons envie d’un café, c’est le point de départ de notre sortie à PORTO. La visite débute par l’église des carmélites puis la bibliothèque (Livra Lello) et la gare de Porto avec ses très nombreux azuléjos, tous aussi beaux les uns que les autres, c’est un ravissement. Nous allons déjeuner vers le Rio DOURO en traversant la place de la cathédrale puis les ruelles et escaliers se succèdent jusqu’aux bords du fleuve. Les genoux souffrent, être assis est salutaire, au menu, calamars, poulpe, daurade et crevettes, c’est très bons mais plus cher qu’hier. La visite des bords du fleuve avec ses restaurants et ses magasins est très agréable, Jeannot, Mireille et Chantal continuent vers le parc  Cristal, jojo lui remonte vers le terminus pour le attendre, il est 16h lorsque nous reprenons le bus, c’est le même chauffeur ! Nous lui demandons de rouler cool, mais ce n’est pas le cas il roule aussi vite et conduit aussi brusquement. Nous arrivons à bon port tout de même. Un bon bain de pied est réparateur, le calme et la fraicheur de nos installations aussi. Nous préparons demain, mais c’est une autre journée à demain.

Le 12 septembre 2013

Journée fort bien commencée avec une nuit bien au calme mis à part le vent qui s’est levé au milieu de la nuit. Les Candides sont déjà levés, accident ? Réveil ?  Le réveil programmé à 7 heures a bien fonctionné, mais comme il y a une heure de décalage, ils se sont levés à 6 heures (heure portugaise), ce qui leur a permis  de faire un footing et une marche, quelle énergie ! La direction de Barcelos est prise, nous devons passer par Viana do Castelo sur le pont qui enjambe le Rio Lima. Seul problème le passage sur le pont, le camping-car à Jeannot refuse l’obstacle par deux fois. Une prise en main demandée par Jeannot est effectuée par le 2ème camping-car. Tout rentre dans l’ordre. Barcelos est un gros bourg qui accueille un énorme marché le jeudi, on y trouve de tout, du petit légume aux poteries régionales en passant par la morue séchée, les parures de lit, les outils agraires ainsi que les poissons frais. Nous trainons dans ce marché et autour dans les rues étroites. Le déjeuner est pris pour 24,60€ pour 4, vin compris et c’est copieux et délicieux.  Il est l’heure de reprendre la route direction Braga, ville religieuse par excellence, à chaque coin de rue une église, une échoppe d’articles religieux ou sacerdotaux de quoi y perdre son livre de messe. Repus de bondieuseries, nous allons vers Porto, le GPS est programmé, la route (environ 40 km) est sinueuse mais sans plus, les incohérences de l’électronique font que nous quittons la grande route pour des routes départementales, voire vicinales et même sans nom. Les pavés succèdent aux pavés, puis aux pavés et de nouveau aux pavés. La vaisselle est rangée dans nos placards, les amortisseurs sont en plein expression, le chemin nous semble interminable, et tout à coup, nous sommes devant l’entrée du camping, ouf ! il est tard, nous fêtons l’évènement devant un bon verre de bière, puis un apéro.

Le 11 septembre 2013

Départ de Santiago vers 10heures 30 sous une fraicheur matinale identique à la France, direction VIGO via Pontevedra, les canadairs au nombre de 3 sont à l’ouvrage sur des feux au-dessus de nous, les rotations sont multiples. La route est belle comme ces derniers jours, et nous nous stoppons à Pontevedra pour déjeuner sur le port. Vigo est une assez grosse ville pas facile de s’y repérer nous galérons un peu malgré le GPS, les instructions de la carte. Après de nombreux virages et ralentisseurs nous franchissons enfin la frontière. Une halte pour arroser ce passage et étancher une soif omniprésente est salutaire. Une brève concertation nous met d’accord sur un arrêt en bord de mer. La première halte est infructueuse, la deuxième presque réussie, les vélos nous aident à trouver l’endroit idéal, face à la mer (40m) sans vis-à-vis. Une baignade s’impose, les hommes(les vrais) s’expriment, il est maintenant l’heure de l’apéro, nous nous sacrifions et dînons ensuite. Demain sera encore une autre histoire, bonsoir à vous.